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Paix, Amour, Tolérance  اشهد ان لآ اِلَـهَ اِلا الله و أشهد ان محمدا رسول الله

Le Saint Coran : Le premier Livre a avoir donné des droits et élever la femme dans la société

Posted on August 7 2012

AVANT L'ISLAM :

Avant la naissance de l'Islam, toutes les communautés de la terre méprisaient la femme et la lésaient dans son droit. Chez le Grecs, elle était un objet de divertissement et de plaisir. Cela est exprimé dans cette citation de Démosthène : « Nous utilisons les prostituées pour le plaisir, les amantes pour notre soin corporel quotidien et les épouses pour avoir des enfants légitimes » La femme athénienne est une éternelle mineure, qui ne possède ni droit juridique, ni droit politique.

Toute sa vie, elle doit rester sous l’autorité d'un κύριος / kúrios (« tuteur ») : d’abord son père, puis son époux, voire son fils (si elle est veuve) ou son plus proche parent.

Chez les Romains, le père et l'époux avaient le droit de la vendre à qui ils voulaient.

Quant aux Arabes Paiens, le fils de l'époux avait le droit de la prendre en héritage au même titre que les biens et les bêtes de son père ! Ceci bien entendu, dans le cas où Allah la protégeait d'être enterrée vivante à sa naissance ! Il en est de même du reste des communautés, qu'il s'agisse des Perses, des Indiens…

De plus chez les chrétiens, l'image de la femme étant dégradante du fait qu'Eve avait incité Adam à manger la pomme de l'arbre interdit et furent chassés du paradis. Elle fut l'origine du mal de par l'obéissance qu'elle accorda au serpent (Satan) ce qui entraine son statut de subordonée et de soumise à coté du glorieux homme.

Ce texte présente la femme et toute la tradition chrétienne n'a cessé de le rappeler - comme l'agent de la faute qui fit de l'humanité une espèce vouée à la mort. Adam et par conséquent ses descendants furent en outre condamnés à travailler pour vivre. La femme, quant à elle, dut désormais enfanter dans la souffrance et être soumise à son mari:

"Je multiplierai les peines de tes grossesses, dans la peine tu enfanteras des fils. Ton désir te poussera vers ton mari et lui dominera sur toi" (Gn., 3 ; 16).

selon eux, les femmes sont, plus que les hommes, prédisposées à se vouer au Diable, étant faibles, vaniteuses et tentées par les plaisirs de la chair que leur offre le démon. Cette conception de la femme explique que la répression de la sorcellerie, orchestrée aux XVIe et XVIIe siècles tant par les protestants que par les catholiques, ait essentiellement visé les femmes : 80% des accusés, estiment les historiens, étaient des femmes (cf. R. Muchembled, 1978 : 297 et J.-M. Salmann, 1991 : 455-60).

Jusqu'au Moyen Age, des doctes théologiens chrétiens s'interrogeaient pour savoir si la femme avait une âme car elle pouvait avoir peut etre l'origine du mal sur terre ou si elle pouvait espérer avoir accès au Paradis car elle s'est associée au serpent.(Satan)

Un culte exclusif était voués à l'image "glorieuse" de l'homme délaissant la femme qui, elle, n'ayant aucun rôle honorable.

"Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, comme notre ressemblance, et qu'ils dominent sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, les bestiaux, toutes les bêtes sauvages et toutes les bestioles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa."(Gn. 1; 26-28).

"L'homme, lui, ne doit pas se couvrir la tête parce qu'il est l'image et le reflet de Dieu ; quant à la femme, elle est le reflet de l'homme. Car ce n'est pas l'homme qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme. Et ce n'est pas l'homme, bien sûr, qui a été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme" (Corinthiens. I, 11, 2-16).

« Je veux cependant que vous sachiez que le Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef du Christ.… L'homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu’il est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ; et l’homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme. C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité dont elle dépend... »

«Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l'Église»

L'image d'une Eve tentatrice dans la Bible a eu pour résultat un impact extrêmement négatif sur les femmes au cours de la tradition judéo-chrétienne. Toutes les femmes sont suspectées d'avoir hérité de leur mère, la biblique Eve, et sa culpabilité et sa malignité. En conséquence, elles étaient toutes moralement inférieures, indignes de confiance, et perverties. Règles, grossesse et accouchement étaient considérés comme les justes punitions de la culpabilité éternelle du sexe féminin maudit.

" Lorsqu'une femme a un écoulement de sang et que du sang s'écoule de son corps, elle restera pendant sept jours dans la souillure de ses règles. Qui la touchera sera impur jusqu'au soir. Toute couche sur laquelle elle s'étendra ainsi souillée, sera impure ; tout meuble sur lequel elle s'assiéra sera impur. Quiconque touchera son lit devra nettoyer ses vêtements, se laver à l'eau, et il sera impur jusqu'au soir. Quiconque touchera un meuble, quel qu'il soit, où elle se sera assise, devra nettoyer ses vêtements, se laver à l'eau, et il sera impur jusqu'au soir. Si quelque objet se trouve sur le lit ou sur le meuble sur lequel elle s'est assise, celui qui le touchera sera impur jusqu'au soir. " (Lev. 15:19-23).

"Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression." (I Timothée 2:11-14).

St. Tertullien mâche encore moins ses mots que St Paul, alors qu'il parlait à ses 'bien aimées soeurs' dans la foi, en disait [6]: "Savez vous que vous êtes chacune une Eve? La sentence de Dieu sur votre sexe subsiste aujourd'hui: la culpabilité doit donc exister nécessairement. Vous êtes la porte du Démon: vous avez décacheté l'arbre interdit. Vous avez déserté les premières la loi divine: vous avez persuadé celui que le démon n'a pas été assez courageux pour attaquer de face . Vous avez détruit si facilement l'image de Dieu, l'homme. Par la cause de votre désobéissance, même le Fils de Dieu a dû mourir."

St Augustin fut fidèle à l'héritage de ses prédécesseurs, en écrivant à un ami: "Quelle différence que ce soit une épouse ou une mère? Nous devons toujours prendre garde à l'Eve tentatrice qui subsiste dans chaque femme......je ne vois pas....quelle utilisation peut faire l'homme de la femme, si on exclut la fonction d'élever les enfants."

Des siècles plus tard, St Thomas d'Aquin considérait toujours les femmes comme défectueuse. "En ce qui concerne sa nature individuelle, la femme est défectueuse et mal élevée, car la force active contenue dans la semence male tend à produire une similarité parfaite du sexe masculin. Alors que la production d'une femme vient d'un défaut dans la force active ou d'un manque d'une certaine matière ou même d'une influence externe." Finalement, le renommé réformateur Martin Luther ne pouvait voir aucun profit d'une femme si ce n'est d'amener au monde autant d'enfants que possible, peu importe les effets secondaires: " Si elles se fatiguent ou meurent, cela n'a pas d'importance. Laissez les mourir en couche, c'est ce pourquoi elle sont là "

" Ta fille est indocile? Surveille-la bien, qu'elle n'aille pas faire de toi la risée de tes ennemis, la fable de la ville, l'objet des commérages, et te déshonorer aux yeux de tous. " (Ecclésiastique 42:11).

" Méfie-toi bien d'une fille hardie de peur que, se sentant les coudées franches, elle n'en profite. Garde-toi bien des regards effrontés et ne t'étonne pas s'ils t'entraînent au mal. " (Ecclésiastique 26:10-11).

Ce fut exactement cette même idée de la fille source de déshonneur, qui poussait les Arabes pagans, avant l'avènement de l'Islam à pratiquer l'infanticide femelle. Le Saint Coran condamna sévèrement cette pratique haineuse :

"Et lorsqu'on annonce à l'un d'eux une fille, son visage s'assombrit et une rage profonde [l'envahit]. Il se cache des gens, à cause du malheur qu'on lui a annoncé. Doit-il la garder malgré la honte ou l'enfouira-t-il dans la terre? Combien est mauvais leur jugement! " (16:58-59).

Avant l’arrivée de l’Islam, il y avait différentes formes de mariage non-valides (zawaj fassid) chez les arabes paiens :

  • Une forme dans laquelle, un groupe de moins de dix personnes entrait chez une femme et celle-ci avait un rapport sexuel avec chaque homme. En cas de conception d’un enfant, la femme désignait l’homme à qui elle attribuait la paternité.

  • Une forme connu sous le nom de « mariage pour améliorer la lignée ». L’homme cédait sa femme à un homme courageux et de haut rang dans le but d’engendrer un enfant possédant les mêmes caractéristiques que lui.

  • Une forme connu sous le nom de « mariage temporaire (nikah al mout’a) » .Le mariage temporaire consiste à épouser une femme pour un délai déterminé.

  • Une forme connu sous le nom de « mariage par compensation (ach-chighar) ». Il consiste à ce que l’homme donne en mariage une femme : soit sa fille, sa sœur ou toute autre femme qui est sous sa tutelle à un tiers à condition que ce dernier lui donne en mariage une femme sans la dot, car l’échange prend la place de la dot.

  • Les arabes de l’époque pré-islamique contraignaient leurs esclaves à la prostitution, et s’accaparaient leur salaire, jusqu’à ce qu’Allah fit descendre :

{ [...] Et dans votre recherche des profits passagers de la vie présente, ne contraignez pas vos femmes esclaves à la prostitution. } [24 : 33

Le Saint Coran : Le premier Livre a avoir donné des droits et élever la femme dans la société

APRES L'ISLAM :

Contrairement à l'idée communément admise en Occident, selon laquelle la femme musulmane est maltraitée et méprisée, on peut affirmer que l'Islam a en fait donné à la femme, tant sur le plan spirituel que sur le plan communautaire, un statut jamais égalé par aucune autre société humaine jusqu'à nos jours.

Le Coran énonce clairement que les hommes et les femmes sont de même nature spirituelle et humaine. Les deux ont reçu le “souffle divin” qui leur a donné de la dignité et a fait d’eux les gérants de Dieu sur la terre. La femme n’est pas blâmée pour la “chute de l’homme”. La grossesse et l’accouchement sont donnés comme des raisons supplémentaires pour aimer et apprécier les femmes et non comme punition pour “avoir mangé de l’arbre interdit”. L’homme et la femme ont des devoirs et des responsabilités comparables et les deux font face aux conséquences pour leurs décisions et de leurs actions morales. « Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent. » (Sourate 30 :21)

«Oui, ceux qui sont soumis a Dieu et celles qui Lui sont soumises ,les croyants et les croyantes, les hommes pieux et les femmes pieuses ,les hommes sincères et les femmes sincères, les hommes patients et les femmes patientes ,les hommes et les femmes qui redoutent Dieu ,les hommes et les femmes qui font l'aumône ,les hommes et les femmes qui jeûnent, les hommes chastes et les femmes chastes ,les hommes et les femmes qui invoquent souvent le nom de Dieu(à tous et à toutes) a réservé(Son) Pardon et une Magnifique Récompense »(Coran,33 ;35)

Le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) a dit : « Soyez bienveillants à l’égard des femmes, car la femme a été créée d’une côte, or la partie la plus courbée de la côte est son sommet, si tu cherches à la redresser, tu la briseras, et si tu la laisses, elle demeurera courbée. Soyez donc bienveillants à l’égard des femmes ».

Pour balayer les traces d'infanticide de fille, dans une société musulmane en expansion, le Prophète Muhammad a promis à ceux qui étaient gratifiés d'une fille une énorme récompense s'ils élevaient leur fille avec bonté : " Celui qui s'engage à élever ses filles, et accorde ses soins bénévolement envers elles, ce sera une protection pour lui contre le Feu de l'Enfer " (Bukhari et Muslim). " Quiconque élève deux filles jusqu'à leur matûrité, lui et moi viendront le Jour de la Résurrection comme ceci ; et il joignit ses doigts " (Muslim).

Nulle part le Coran ne mentionne que les “hommes sont supérieurs aux femmes”, à moins que le texte du Coran n’ait été pauvrement traduit en français. Le Coran et les hadiths indiquent clairement que la seule base de supériorité est la piété et la droiture, non le genre, la race, la couleur ou la richesse. Le prophète (pbsl) a dit: "Il n'ya pas de superiorite de l'arabe sur le non arabe ni ni du blanc sur le noir si ce n'est par la piete" (rapporté par At thirmidhi).

La loi islamique sauvegarde les droits des femmes avant et après le mariage. En fait, la femme reçoit une plus grande sécurité financière que l’homme et elle est cependant indépedante. Elle a droit au plein montant de son cadeau de mariage. Elle a le droit de garder toutes les propriétés présentes ou futures et un revenu pour sa propre sécurité. Pendant ce temps, elle a droit à toute l’aide financière avant, pendant et après le mariage, sans égard à sa richesse personnelle. Les droits additionnels incluent l’aide pendant la “période d’attente” en cas de divorce et l’aide pour l’enfant. Cette aide garantie à toutes les étapes de sa vie, constitue des avantages financiers sur les hommes, équilibrés partiellement par la moindre part d’héritage qui lui revient.

L’éducation des filles n’est pas seulement un droit mais un devoir pour tous les musulmans, hommes et femmes.

Une fille a le droit d’accepter ou de rejeter des propositions de mariage. Le mariage forcé sans le consentement mutuel est invalide selon les enseignements du Prophète Mohammad (Paix et Bénédiction sur lui) .

La femme dispose seule de l’usufruit de son travail éventuel, tandis que l’homme a le devoir d’entretenir et subvenir aux multiples besoins de sa famille.

La responsabilité du mari sur l’entretien, la protection et la direction de la famille, en général, dans l’esprit de la consultation et de la gentillesse, est la signification du terme coranique “Qawwamoune”(Sourate 4 v.34). Ce terme est souvent mal traduit par “qui a de l’autorité sur les femmes”. De la même façon Dieu a doté les hommes et les femmes de qualités physiologiques et autres, différentes et complémentaires mais également importantes. Ceci mène à certains rôles et devoirs différents mais complémentaires à l’intérieur de la cellule familiale. C’est ce à quoi le Coran réfère par le terme “(fad’)darâdja” (Sourate 2 v.228), souvent mal traduit comme “parce que Dieu l’a fait supérieur à l’autre”. Cette différenciation se retrouve strictement dans les rôles, non dans le statut ou l’honneur.

Dans le cas d’une dispute familiale, le Coran exhorte le mari à traiter sa femme gentiment et à ne pas négliger ses côtés positifs. Si le problème est relié au comportement de la femme, son mari peut la rappeler à la raison. Dans la plupart des cas, cette mesure suffit. Dans les cas où le problème continue, le mari peut exprimer son mécontentement d’une autre façon pacifique, soit en dormant dans un lit séparé du sien. Cependant, il y a des cas où la femme persiste à maltraiter de façon délibérée son mari et néglige ses obligations conjugales. Au lieu du divorce, le mari peut avoir recours à une autre mesure qui peut sauver son mariage, du moins dans certains cas. Cette mesure est décrite plus précisément comme étant une petite tape sur le corps, mais jamais sur le visage, ce qui est plus une mesure symbolique que punitive. La loi islamique a bien précisé qu’avoir recours à cette mesure extrême et exceptionnelle considérée comme le moindre de deux maux (l’autre étant le divorce), est sujet à des restrictions explicites. Elle ne doit pas être sévère au point de causer des blessures ou même de laisser une marque sur le corps. Les lois américaines ou européennes contemporaines ne considèrent pas une tape légère qui ne laisse aucune marque sur le corps comme un abus physique.

C’est la même définition qu’ont donnée les juristes musulmans il y a plus de 1400 ans. Dans plusieurs paroles, le Prophète a découragé son utilisation, aussi légère soit-elle. “Ne frappez jamais les servantes de Dieu (les femmes)” a dit le Prophète, qui a démontré cette noblesse dans sa propre vie conjugale.

Il s’ensuit que lorsque cette question est ramenée dans son contexte, elle n’a rien à voir au fait de sanctionner “l’abus” ou “la violence conjugale” qui est, malheureusement, répandu dans un pays tel que les États-Unis où toutes les 10 secondes une femme est battue et chaque jour quatre femmes sont tuées par leurs conjoints, ce qui fait de la violence conjugale la cause du tiers environ des meurtres commis sur les femmes aux États-Unis (1993).

Les hommes et les femmes sont égaux devant la loi et les tribunaux. Les changements dans le nombre de témoins, hommes et femmes, dans les tribunaux ne figurent dans le Coran que dans le contexte des contrats financiers. Le but est d’établir l’exactitude du témoignage, dans un cadre donné et auquel les femmes peuvent ne pas avoir été exposées ou être expérimentées en matières commerciales. Le juge peut cependant décider d’assurer la justice sans égard au sexe des témoins.

CONCLUSION

L’Islam a été la première culture à admettre la totale indépendance financière de la femme, à lui accorder des droits codifiés, que même certaines parties de l’Europe d’aujourd’hui leur refuse (le vote par ex.).

Les musulmanes constituent en gros la moitié de la Oummah.

Dieu, dans sa Sagesse, n’a pas attendu que d’autres dessinent pour elles les plans de leur libération.

En Islam, chacun est responsable de ses actes et devra en répondre devant Dieu.

Les musulmans font acte d’Islam non par foi aveugle, mais par acceptation de la cohérence de l’ensemble des principes de Dieu dans le Coran, et l’exemple du prophète, car il faut restituer le problème dans ce cadre et nul autre.

“Le plus parfait des croyants est celui qui a la meilleure conduite . Les meilleurs d’entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leurs femmes“ Hadith (Tirmizi)

Ainsi parla le prophète de Dieu, Mohammad (Paix et Bénédiction Sur Lui) .

Le Saint Coran : Le premier Livre a avoir donné des droits et élever la femme dans la société
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